L’amour, c’est... L’amour c’est comme le jardinage : ?a commence avec une pelle et ?a finit avec une graine. L’amour c’est comme la pluie : il fait toujours grandir quelque chose. L’amour c’est comme le soleil : il éclaire et réchauffe mais il peut aussi aveugler et br?ler. Marc Chagall, Les Amoureux en vert, 1917 L’amour c’est comme un chateau de cartes : long et difficile à construire mais facile à détruire. L’amour c’est comme un jouet d’enfant : on le brise par un caprice. L’amour c’est comme le vent : on le sent, même si on ne sait pas d’où il vient. L’amour c’est comme un orage : il y a souvent un coup de foudre avant que naisse l’arc-en-ciel. Marc Chagall, Les Amants bleus, 1914 L’amour c’est comme une poussière de bonheur qui te fait éternuer le coeur. L’amour c’est comme applaudir : une main n’applaudit jamais seule, il en faut deux. L’amour c’est comme une rose : sa beauté nous fait oublier ses épines. L’amour c’est cette merveilleuse chance qui fait qu’un autre vous aime quand vous ne pouvez plus vous aimer vous-même. Marc Chagall, Les Amoureux en rose, 1916 L’amour c’est comme la philosophie : on n’y comprend jamais rien. L’amour c’est des grands mots avant, des petits mots pendant, des gros après. L’amour c’est comme un jardin : si on ne l’entretient pas, les mauvaises herbes poussent et les fleurs fanent. L’amour c’est comme un jeu de cartes : si tu joues à deux, il te faut un bon partenaire mais si tu joues tout seul, il te faut une bonne main. L’amour c’est comme la guerre : ?a commence toujours par une déclaration. Marc Chagall, Les Amoureux en gris, 1917 L’amour c’est comme un roman : si tu ne prends pas tranquillement les premiers chapitres, tu te perds dans le reste de l’histoire. L’amour c’est comme une chanson : elle commence doucement, elle continue en harmonie et quand elle se termine, elle reste encore longtemps dans l’esprit. L’amour c’est comme un papillon : il est hors de portée quand on le chasse. Mais si on le laisse tranquille, il peut très bien venir se poser sur notre épaule. L’amour c’est comme un feu qui jaillit dans une cheminée : tout prend relief à sa lumière. Marc Chagall, La Promenade, 1918 (source : http://cybermag.) |
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